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Notice d'autorité- Personne
- 1820 - 1902
Alexandre Bertrand, secrétaire de la Commission de Topographie des Gaules dès 1858, est au centre de la vaste organisation de recensement des vestiges archéologiques.
Ancien élève de l’École française d’Athènes, Alexandre Bertrand est d’abord professeur de rhétorique au lycée de Rennes. En 1858, il est nommé secrétaire de la Commission de Topographie des Gaules à 38 ans, peut-être par l’intermédiaire d’Alfred Maury.
Acteur majeur de la recherche archéologique en France, il s'intéresse tout particulièrement à l’étude des mégalithes et prend rapidement la tête de la Revue archéologique. Il effectue de nombreux voyages dans les musées et sur les sites archéologiques, supervise des campagnes de fouilles et contribue à l'élaboration d’un vaste réseau scientifique.
En 1866, Alexandre Bertrand est nommé directeur du musée gallo-romain par intérim, après le départ de Claude Rossignol. C'est à lui que revient l'honneur d'accompagner Napoléon III lors de l'inauguration du musée le 12 mai 1867. Il reste à la tête du musée gallo-romain, devenu musée des Antiquités nationales, jusqu'à sa mort en 1902.
Pour aller plus loin, voir la notice d’Hélène Chew : https://www.inha.fr/fr/ressources/publications/publications-numeriques/dictionnaire-critique-des-historiens-de-l-art/bertrand-alexandre.html
Bibliothèque de Châtillon-sur-Seine
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Bibliothèque de Fribourg-en-Brisgau
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Bibliothèque de la Société des Antiquaires de Zurich
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- 1834 - 1908
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- 1842 - 1923
Sculpteur français. Il est l'auteur du groupe en marbre dit La Défense du foyer, présenté au salon de 1887 et installé dans le square Ajaccio à Paris.
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- 1844 - 1930
Dessinateur et Photographe. Il débute son activité de photographe en 1867.
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- Paris, 1866 - Paris, 1919
A accompagné l'archéologue Jacques de Morgan dans sa campagne de fouille à Suse.
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Boucher de Crèvecœur de Perthes, Jacques
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- Perthes, 10 septembre 1788 - Abbeville, 5août 1868
Aîné d'une famille de sept enfants, il est le fils de Jules Armand Guillaume Boucher de Crèvecœur (1757-1844) et de Marie de Perthes (1767-1827).
En 1802, son père insatisfait de ses études médiocres, le retire du pensionnat et le fait entrer aux douanes où il devient surnuméraire puis en 1804 est nommé officiellement commis dans les bureaux de son père, à Abbeville. Napoléon le nomme lieutenant en avril 1805. Il devient attaché à la Direction des Douanes de Marseille puis à Gênes jusqu'en 1808, vérificateur à Livourne puis sous-inspecteur à Foligno. Ce séjour en Italie lui permet de parfaire son éducation intellectuelle. Il devient un virtuose du violon, et souhaitant devenir un homme de lettres, se met à écrire des poèmes, nouvelles, romans, chansonnettes, pièces de théâtre6. Il est nommé inspecteur des Douanes à Boulogne en 1811, sous-chef à la direction générale des douanes à Paris en 1812.
À la chute de Napoléon, qui est pour beaucoup dans le succès de sa carrière, il est envoyé comme inspecteur six mois à La Ciotat et à Morlaix du 11 juillet 1816 à août 18245. Jacques Boucher de Crèvecœur obtient en 1818 par ordonnance royale l’autorisation de reprendre le nom de sa mère « de Perthes », une descendante d’un oncle de Jeanne d’Arc. Enfin, après de multiples démarches, il obtient en 1825 de reprendre la place de son père à la Direction des Douanes d'Abbeville. Après vingt ans d'absence, il revient dans ce chef-lieu d'arrondissement de la Somme, ancienne capitale du Ponthieu.
Il devient président de la Société d'émulation d'Abbeville. Il se lie avec le préhistorien Casimir Picard et entreprend l'installation d'un musée local. De 1838 à 1841, il publie les cinq volumes de La Création, exposé philosophique, rencontrant les idées de Georges Cuvier, où l'ancienneté de l'Homme n'est pas en discussion.
À cette époque, les découvertes d'ossements fossiles se multiplient dans les tourbières et sablières. Boucher de Perthes décèle dès 1828 des anomalies, en particulier des silex avec deux éclats façonnés par la main de l'homme, dans un banc tertiaire (il considère que ce banc est antédiluvien) d'alluvions des bords de la Somme à Abbeville. En 1844, il découvre dans les couches les plus anciennes de la terrasse de Menchecourt-lès-Abbeville (alluvions de la Somme) des outils en silex à côté d'ossements de grands mammifères disparus qu'il date du Pléistocène (période comprise entre 2,58 millions et 11 700 ans avant le présent). Il rédige plusieurs ouvrages entre 1846 et 1864, notamment Antiquités celtiques et antédiluviennes, dans lequel il raconte ses découvertes et démontre que deux industries se sont succédé dans le temps comme se superposent les deux strates des terrains qu'il a fouillés. La strate la plus récente se caractérise par des pierres polies et la précédente par des silex taillés contemporains d'ossements de mammouths et de rhinocéros nain. Ainsi l'étude chronologique des couches permet de donner une datation relative des vestiges retrouvés. Boucher de Perthes démontre qu'à une période très ancienne existait déjà un homme « préhistorique ». Cette découverte rouvre le débat sur l'antiquité de l'homme.
En janvier 1853, il est mis à la retraite des Douanes. Libre, il peut se consacrer désormais entièrement à ses études et aux voyages, parcourant l'Europe à la recherche des traces des hommes. Alors que l'Académie des Sciences considère que les haches qu'il a découvertes ne sont que des cailloux roulés, Boucher de Perthes obtient en 1859 la reconnaissance de son travail grâce aux visites successives à Abbeville et à Amiens des géologues et paléontologues anglais Hugh Falconer, Joseph Prestwich, John Evans, Robert Godwin-Austen, John Wickham Flower, Charles Lyell qui font une communication à la Société Royale de Londres, mais également de scientifiques français comme Albert Gaudry, Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau et Édouard Lartet. Tous peuvent constater l'association, à des niveaux stratigraphiques profonds et sans remaniement, de restes fossiles de faunes disparues et de vestiges lithiques taillés.
En 1860, Boucher de Perthes prononce et publie un discours demeuré célèbre : De l'Homme antédiluvien et de ses œuvres, qui conclut que :
l'Homme a bien été le contemporain de certains animaux disparus, à une époque antérieure au Déluge ;
les climats ont changé puisqu'il y avait des éléphants et des hippopotames dans la vallée de la Somme ;
on peut distinguer une période tropicale, une période glaciaire et une période tempérée.
Avec sa théorie de l'existence d'un homme antédiluvien, Boucher de Perthes s'attire les foudres de la communauté scientifique, notamment du géologue Léonce Élie de Beaumont, qui en 1863 affirme encore ne pas croire que mammouths et humains aient été contemporains. Dès 1851, Jean-Baptiste Noulet arrive au même résultat de façon indépendante. En 1863, il obtient une preuve flagrante de sa théorie : lors de fouilles archéologiques, il découvre une mâchoire humaine sur le site du Moulin Quignon dans une couche géologique contenant des silex taillés et des ossements d'espèces éteintes. Cette trouvaille suscitant la polémique, il s'ensuit le « procès de la mâchoire », notamment entre savants français et britanniques. Il s'avère que la mâchoire est un faux mais cette fraude, réalisée par des carriers à qui Boucher de Perthes offre 200 francs pour la découverte de vestiges humains, permet la réunion d'une commission franco-britannique de savants déterminante pour la préhistoire en tant que science : cette commission détermine des critères d'authenticité, de méthodes de fouilles et son retentissement médiatique diffuse les idées de la science préhistorique dans le public.
Il participe à la fondation du Musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye par le don en 1864 d'objets récupérés lors de ses recherches. Dans son hôtel particulier d'Abbeville, il amasse une grande quantité d'objets récoltés dans des carrières de la vallée de la Somme. En 1872, l'hôtel de Chepy devient le musée Boucher de Perthes13.
Il fit également don d'une partie de ses trouvailles au Muséum national d'histoire naturelle de Paris. Le musée Boucher de Perthes ayant été totalement détruit lors du bombardement d'Abbeville du 20 mai 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale, les objets archéologiques donnés par Boucher de Perthes au musée de Saint-Germain-en-Laye et au Muséum d'histoire naturelle sont les seuls vestiges de son travail d'archéologue.
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- 1805 - 1893
Historien, spécialiste de Jeanne d'Arc et de l'Orléanais.
Fondateur du journal d'opposition "L'Orléanais" en 1830.
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- 1645 - 1716
Marquis de Sourches, grand prévôt de France de 1664 à 1714.
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- 1799 - 1878
Banquier. Géologue et minéralogiste. Conservateur du musée de Clermont-Ferrand.
Correspondant de la CTG pour le Puy-de-Dôme
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- 1813 - 1872
Correspondant de la CTG pour l'Indre-et-Loire.
Chanoine titulaire de Tours.
Correspondant du CTHS (1840-1873).
Fondateur et président de la Société archéologique de Touraine.
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- 11 août 1881 - 22 décembre 1974
Mary Boyle est née en Ecosse, à Crieff, le 11 août 1881. Elle étudie les langues et l’art en Suisse et en Italie. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, elle rentre en Ecosse où elle s’engage comme infirmière dans un centre pour les réfugiés de Glasgow. Elle rencontre Miles Burkitt (1890 - 1971), archéologue et préhistorien, dont elle devient la secrétaire peu de temps après la guerre. Miles Burkitt avait été formé par l’abbé Henri Breuil (1877 - 1961) en France et en Espagne. C’est par son intermédiaire, en 1920, que Mary Boyle rencontre l’abbé Henri Breuil, qui l’embauche comme secrétaire. A partir de cette année-là, elle suit l’abbé sur tous ses chantiers de fouilles. En plus de sa collaboration à plusieurs ouvrages de Breuil, elle rédige sa propre synthèse : Barma Grande, the cave and its inhabitants (1925). Elle s’installe à Madrid en 1931 pour suivre l’enseignement du professeur Hugo Obermaier (1877 - 1946). Elle rejoint l’abbé Breuil en Afrique du Sud à partir de 1942 où elle est son interprète. De retour en France, les deux s’attachent à la rédaction et à la traduction de Quatre cents siècles d’art pariétal qui paraît en 1952. L’ouvrage bénéficie d’une large diffusion du fait de sa traduction anglophone, dont Miss Boyle s’est chargée. Elle meurt le 22 décembre 1974 à Crosne (Essonne).
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- 1618 - 1682
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- 28 février 1877 - 14 août 1961
28 février 1877 : naissance d'Henri Breuil à Mortain
1895 : entrée au séminaire de philosophie de Saint-Sulpice à Issy (Seine)
1896 : rencontre avec Geoffroy d'Ault du Mesnil (1842 - 1921)
1897 : premier "tour de France" (Dordogne, , Haute-Garonne, Ariège, Landes) ; rencontre d'Edouard Piette (1827 - 1906) à Brassempouy ; entrée au séminaire de Saint-Suplice à Paris
1898 : première communication à l'Association française pour l'avancement des sciences (AFAS) à Boulogne-sur-Mer
1900 : ordination pour le diocèse de Soissons
1901 : découverte des Combarelles avec Louis Capitan et Denis Peyrony (1869 - 1954)
1902 : relevés des peintures de la grotte d'Altamira
1903 : obtention d'une licence en histoire naturelle
1905 : nomination Privat Docent (professeur d'ethnographie préhistorique à l'Université catholique de Fribourg ; classification du Paléolithique supérieur
1910 : fondation de l'Institut de Paléontologie humaine, la chaire d'ethnographie préhistorienne est donnée à Breuil.
1911 : publication Les Cavernes de la région cantabrique
1914 : incorporation dans le corps des infirmiers à l'hôpital de Talence
1915 : démobilisation puis remobilisation à Paris
1920 : rencontre avec Miss Mary Boyle en Angleterre
1922 : nomination dans la Commission des monuments historiques, section Préhistoire au ministère des Beaux-Arts
1924 : voyage en Roumanie ; achat d'une maison à L'Isle-Adam
1926 : réception d'un Honorary Degree à l'Université d'Oxford
1929 : nomination professeur au Collège de France (chaire de préhistoire), voyage en Afrique du Sud
1931 : voyage en Chine
1932 - 1935 : voyages en Moravie, Angleterre, Algérie, Ethiopie, Chine, Egypte, Italie.
1936 : nomination à la présidence de la Société préhistorique française
1938 : élection à l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres
1940 : découverte de Lascaux, Breuil demande à Thaon de faire les relevés
1942-1945 : sur l'invitation de Jan Smuts (1870 - 1950), premier ministre de l'Union sud-africaine, Breuil se rend en Afrique du Sud.
1946 : retraite du Collège de France
1947 : voyage en Afrique du Sud, relevés du Brandberg
1951 : publication Les hommes de la pierre ancienne, écrit avec Raymond Lantier
1952 : publication Quatre cents siècles d'Art pariétal
1955 : publication du premier volume de la série "Rock Paintings of Southern Africa" : The White Lady of the Brandberg
1958 : ordination commandeur de la Légion d'honneur
1959 : ouverture de la salle Breuil au Musée des Antiquités nationales
29 octobre 1961 : décès de l'abbé Breuil
Henri Breuil naît à Mortain dans la Manche le 28 février 1877. Il grandit dans l'Oise où son père a été nommé procureur de la République en 1883. Il entre au Collège Saint-Vincent de Senlis en 1887. Henri ne se passionne pas pour l'école et préfère les vacances qu'il passe chez ses grands-parents où il peut observer les insectes. Après l'obtention d'un baccalauréat passable, il entre au séminaire de philosophie d'Issy en 1895. C'est à cette période qu'il fait des rencontres déterminantes pour sa carrière : Geoffroy d'Ault du Mesnil (1842 - 1921), Jean Bouyssonie (1877 - 1965), Edouard Piette (1827 - 1906), Salomon (1858 - 1932) et Théodore Reinach (1860 - 1928), Louis Capitan (1854 - 1929), Adrien de Mortillet (1853 - 1931) et Emile Cartailhac (1845 - 1921). L’année 1900 est une année charnière dans la vie de Breuil, d’une part il est ordonné prêtre pour le diocèse de Soissons et d’autre part il effectue ses premiers relevés de dessins pariétaux dans la grotte de La Mouthe. A partir de cette date, l’abbé ne cesse de voyager.
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- 1824 - 1877
Gustave Adolphe Brion, né le 24 octobre 1824 à Rothau (Bas-Rhin) et mort le 3 novembre 1877 dans le 14e arrondissement de Paris1, est un peintre et illustrateur français.
Brion est un peintre de l'Alsace, dont l'œuvre, après 1870, touche le public du Salon par la fibre patriotique des « provinces perdues ». Né à Rothau dans les Vosges dans une famille où l'on se faisait volontiers pasteur, il était le petit-neveu de Frédérique Brion, l'amie de Goethe. En 1831, sa famille s'installe à Strasbourg, où il reçoit sa formation artistique dans l'atelier du sculpteur Friedrich puis du peintre Gabriel-Christophe Guérin (1841-1844). Par la suite, selon un schéma de carrière habituel, il se fixe à Paris jusqu'à sa mort, mais il gardera toujours un contact avec son Alsace natale : Il vint à Paris, en 1850, pour faire une copie du Dante d'Eugène Delacroix et exposa au Salon de 1852 le Chemin de halage (acquis par les Goncourt, ses premiers amateurs). En 1853, les Schlitteurs de la Forêt-Noire et La Récolte de pommes de terre pendant l'inondation lui valurent une médaille de deuxième classe. Il donna à l'Exposition universelle de 1855 le Radeau sur le Rhin et le Jeu de quilles ; en 1861, la Noce en Alsace, le Repas de noce, le Benedicite et la Batterie de machines de guerre, tableau acquis par l'empereur ; en 1863, Jésus et Pierre sur les eaux et les Pèlerins de Sainte-Odile ; en 1864, la Fin du déluge, la Quête au loup ; en 1865, le Jour des rois en Alsace, en 1868, une Lecture de la Bible. « M. G. Brion, qui avait eu deux rappels de médaille de deuxième classe [...], obtint au Salon de 1863 une médaille de première classe et la décoration de la Légion d'honneur. Il a eu une deuxième médaille à l'Exposition universelle de 1867 et une médaille d'honneur en 1868. » L'énumération par Vapereau (Dictionnaire universel des contemporains, 1870) des succès du peintre au Salon et de ses récompenses sous le second Empire indique les thèmes favoris de cet artiste « officiel » : oscillant entre la scène de genre et la peinture d'histoire à sujet religieux.
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- 1827 - ?
Peintre et Lithographe français, il a réalisé ses études à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon, entre 1847 et 1850, dans l'atelier de Claude Bonnefond. Il expose ensuite à Lyon jusqu'en 1859.
Il réalise aussi des dessins archéologiques et scientifiques, que l'on retrouve dans des publications de chercheurs et dans leurs archives personnelles, tels qu'Ernest Chantre et Edouard Flouest. Néanmoins, aucune source ne vient préciser et contextualiser cette activité : Louis Brossette apparait seulement comme l'auteur de certains dessins, avec la mention "L. Brossette del".
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- 1769 - 1826
Avocat. Conseiller de préfecture à Besançon. Cousin de Joseph Bruand.
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- 1862 - 1920
Abbé. Historien de la Franche-Comté.
Membre correspondant de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté (1893)
Membre correspondant du CTHS
Membre résidant de la Société d'émulation du Jura (1885-1920)
Membre de la Société française d'archéologie (1891)
Membre de la Société nationale des antiquaires de France (1889)
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- 1801 - 1883
Peintre. Avocat à la Cour de Cassation. Maire de Semur.
Président de la Société des sciences de Semur de 1863 à 1884.