En archéologie, l'estampage est le relevé des inscriptions sur un papier fort non encollé et bien humecté, appliqué contre la surface et amené, à coups de brosse, à épouser tous les creux. Une fois sec, il se détache et donne une copie négative en relief. Un estampage rudimentaire peut être réalisé par simple frottis à la mine de plomb.
Les estampages ont été réalisés par les membres de la CTG ou envoyés par les correspondants de la CTG, tels que Charles Cournault, conservateur au Musée Lorrain à Nancy. On retrouve sur certains estampages l'écriture du général Creuly.
Les estampages sont très peu explicites : on trouve parfois des mentions de lieux (villes, bâtiments), de dates ou de correspondants qui les ont envoyés. Les lettres d’envois d’estampages à la CTG sont perdues quasi systématiquement. Certains estampages semblent représenter l'inscription dans son ensemble ; d'autres comportent des extraits.
On présente en objet numérique un échantillon de 10 estampages (9 recto et 1 verso).