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Description archivistique
Commission de Topographie des Gaules
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Commission de Topographie des Gaules

  • virtuelle / Recueil des sources
  • Collection
  • 1828-1924

Les typologies documentaires sont d'une grande richesse : rapports, notes administratives, pièces comptables et textes réglementaires documentent la création et le mode de fonctionnement de la CTG. Dessins, relevés de fouilles, albums, photographies, mémoires, monographies, correspondance, cartes et plans illustrent les chantiers scientifiques, leur organisation et leurs produits.
Les correspondants de la CTG adressent dès 1858 des documents témoignant des vestiges archéologiques de leur territoire. Beaucoup des documents sont antérieurs à la création de la Commission.

Commission de Topographie des Gaules

Collecte des données épigraphiques

Cette sous-série rassemble, pour l'essentiel, des documents de travail ( les carnets et les estampages) composant une partie des archives épigraphiques. On y retrouve les carnets qui recensent les observations effectuées par Creuly et Robert au cours des enquêtes épigraphiques qu'ils ont menées ainsi que les estampages d'inscriptions latines probablement effectués par des correspondants de la CTG. Ainsi que des documents administratifs organisant la collecte des documents et l'envoi par les correspondants.

Creuly, Casimir

Séances plénières

Les séances plénières (dites "générales") sont pour la Commission de Topographie des Gaules l'occasion de prendre des décisions et de présenter les travaux effectués ou en cours. Les documents relatifs aux séances sont composés de procès-verbaux de séances, accompagnés parfois de leurs brouillons ou d'un exemplaire complémentaire. On y trouve la mention des personnes présentes.
Des séances particulières, en plus petit comité, semblent également avoir existé.
Pour chaque séance, un document numérisé est présenté. Dans le cas des dossiers, où il y a deux exemplaires, c'est l'exemplaire le plus lisible, considéré comme une possible version définitive du procès-verbal, qui est mis en ligne.

Commission de Topographie des Gaules

Financement

Il s'agit de pièces comptables (notes, tableaux de dépenses...).
Des extraits de ces pièces sont attachées en objet numérique.

Commission de Topographie des Gaules

16 août 1858

Procès-verbal de séance manuscrit. Il s'agit du procès-verbal de la première séance tenue par la Commission de Topographie des Gaules. Il rappelle les motifs de la création de la Commission ainsi que ses objectifs, sa composition et son fonctionnement.

Commission de Topographie des Gaules

Exercices annuels

Les exercices annuels regroupent la liste des dépenses effectuées pour le personnel et le matériel nécessaire au fonctionnement de la CTG sous le titre "Topographie des Gaules - emploi du crédit de [XXX francs] accordé par le Ministre d’État". Un crédit est donc alloué par le ministère de l'Instruction publique chaque année et réparti en dépenses "Personnel" et dépenses "Matériel". On peut également trouver, selon les années, un résumé des dépenses, les dates précises des achats effectués ou des indemnités versées.

Ne sont reproduites numériquement que les pièces nécessaires à la compréhension générale de chaque dossier (couverture des dossiers et pièces récapitulatives).

Commission de Topographie des Gaules

Fonctionnement

Les archives concernant le fonctionnement de la CTG sont constituées d'une part des comptes-rendus de séances de la Commission et d'autre part de notes et rapports à l'attention du ministre de l'Instruction publique.

Commission de Topographie des Gaules

25 octobre 1858

Procès-verbaux de séance manuscrits.
Il s'agit de deux exemplaires, probablement d'un brouillon et de la version finale du procès-verbal, portant sur la deuxième séance tenue par la Commission de Topographie des Gaules. Le document numérisé présenté ici est la version définitive du procès-verbal.

Commission de Topographie des Gaules

Administration générale de la CTG

On trouve à ce niveau les documents relatifs au financement et au fonctionnement de la Commission de Topographie des Gaules, ainsi que sur le développement du réseau des membres et correspondants.
La nature des documents est très variée : pièces comptables, comptes-rendus de réunions, notes, liste, correspondance.

Commission de Topographie des Gaules

Carte réalisée par la Société des Antiquaires de l'Ouest – Essai topographique sur le pays des Pictons

Carte dressée en 1858 par la société des Antiquaires de l'Ouest et publiée dans le 1er bulletin de 1858, en particulier M. Menard et intitulée "Essai topographique sur le pays des Pictons". Deux encadrés complètent la carte : « Essai correspondant à la Carte de Gaule de d'Anville » et un « Extrait correspondant de la table théodosienne » ; Nota « On peut porter dans la marge à gauche, les additions ou corrections qu'on voudrait faire, en les numérotant et en indiquant leur place sur la Carte par un numéro correspondant ».

Commission de Topographie des Gaules

Champs d'études

Il s'agit ici des archives relatives à l'épigraphie et à la numismatique, deux champs d'études n'étant pas inscrits dans les objectifs initiaux de la Commission de Topographie des Gaules. Ces études ont très vite mobilisé les correspondants de la CTG grâce à l'expertise d'épigraphistes (Casimir Creuly, Pierre-Charles Robert et Léon Renier) et de numismates (Anatole de Barthélemy, Félicien de Saulcy) qui se trouvaient être des membres ou des correspondants de la Commission.

Commission de Topographie des Gaules

Planches

Les planches aquarellées présentent, à des fins muséographiques, des copies de monuments épigraphiques à l'échelle. Elles ont été réalisées à partir des dessins contenus dans les carnets (Creuly) et des estampages. Le dessin de la pierre présentant l'inscription à l'encre rouge est accompagné d'un titre et d'une transcription de l'inscription en écriture gothique. Les planches terminées sont numérotées et signées par le général Creuly. Certaines portent au verso des mentions de salles au crayon papier. De fait, leur exposition est confirmée par le guide de Gabriel de Mortillet, "Promenade au musée de Saint-Germain", le rapport d'Alexandre Bertrand sur l'ouverture des nouvelles salles du musée en 1879, le fascicule qui synthétise les différentes livraisons "Catalogue des inscriptions du général Creuly" ainsi que par des vues anciennes des salles du musée (cartes postales de la fin du XIXe siècle). Elles étaient présentées dans des meubles à volet en complément des moulages et des monuments authentiques.
Leur présentation est majoritairement géographique mais on trouve également des planches thématiques.

L'ensemble des planches a fait l'objet d'une numérisation.

Creuly, Casimir

Lettre de recommandation du Général Creuly

"Monsieur le Ministre et cher Collègue, [destinataire en bas de page : Monsieur le Ministre de l'Instruction publique et des Cultes]

Lorsque vous avez institué, l'an dernier, la Commission de Géographie des Gaules, vous m'avez invité à vous désigner les officiers que je jugerais le plus propres à y être appelés, et vous avez choisi, sur ma proposition, Mr. le Général Blondel et Mr. le Commandant de Coynard. Vous avez pu reconnaître, depuis, que ces deux désignations étaient excellentes.

Je viens aujourd'hui, un peu tard, mais mieux vaut tard que jamais, vous en proposer une troisème, que je regrette bien de ne vous avoir pas indiquée tout d'abord : c'est celle du Général Creuly.

Mr. le Général Creuly a eu toute sa vie la passion des études ethnographiques, archéologiques et géographiques. Il y a consacré tous les loisirs que son service lui laissait, et aujourd'hui qu'il est entré dans le cadre de la réserve, il n'a plus d'autre occupation. Il a longtemps servi en Algérie et il y a fait de savantes recherches sur la géographie ancienne de ce pays. C'est lui qui a fondé la société archéologique de Constantine. Il y a quelques années l'Institut couronnait un mémoire qu'il avait présenté sur la géographie de l'Afrique. Il a fait également une étude particulière de la Géographie des Gaules, des Commentaires de César, de l'Itinéraire d'Antonin, et des principaux documents que nous ont laissés les Anciens. Il possède d'ailleurs une connaissance approfondie des langues grecque et latine et je sais qu'il s'est occupé avec fruit de linguistique.

Homme de sens et d'intelligence avant tout, érudit, sagace, passioné pour la science, il rendrait j'en suis sûr, d'importants services à la Commission de Géographie des Gaules ; et je sais par lui même, car je l'ai consulté avant de vous écrire, qu'il est tout disposé à les rendre.

Recevez Monsieur le Ministre et cher Collègue, la nouvelle assurance des mes sentiments de sincère attachement et de haute considération.

Le Maréchal Ministre de la Guerre"

Commission de Topographie des Gaules

5 avril 1859

Procès-verbaux de séance manuscrits. Il s'agit de deux exemplaires, probablement d'un brouillon et de la version finale du procès-verbal, portant sur la troisième séance tenue par la Commission de Topographie des Gaules. Le document numérisé présenté ici est la version définitive du procès-verbal.

Commission de Topographie des Gaules

Album A-L

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre [62 pl.]. Site de « la Pirra à Chantapeu » à Fillinges : dessin à l’encre [1 pl.].

Revon, Louis

Fonds Louis Revon

  • 2019002
  • Fonds
  • 1860 - ?

L’instrument de recherche s’arrête à l’article, l’unité matérielle communicable, c’est-à-dire l’album dans le cas présent. Pour faciliter les recherches sur le contenu même des albums, un inventaire détaillé a été réalisé sur tableur proposé en annexe. Les lieux de provenance et de conservation des objets ont été reportés en note dans l’instrument de recherche – avec le nombre de planches concernées - et dans la liste donnée ci-dessous.
Les dessins ont été réalisés sur du papier, en majorité du papier Canson Frères produit à Vidalon-lès-Annonay (Ardèche). Trois techniques sont visibles : le dessin au crayon à papier, le dessin à l’encre de chine, et l’aquarelle qui rehausse certains dessins au crayon à papier. Dans ses lettres, Louis Revon mentionne souvent ses dessins « aquarellisés », qu’il juge plus dignes que ses croquis au crayon ou à l’encre et les seuls susceptibles d’être accrochés aux murs du musée. Dans son éloge funèbre, Camille Dunant décrivait ainsi les dessins de Louis Revon : « Ses dessins, sous une apparence un peu négligée, rendent très exactement et d'une manière pittoresque la forme, l'aspect fruste des antiquités antéhistoriques, et les mettent en quelque sorte dans la main du lecteur ». Le dessinateur attachait beaucoup d’importance à la forme et écrivait à Gabriel de Mortillet le 3 août 1870 : « comme j’ai horreur de l’a-peu près, je ne dessine presque jamais un objet antique sans le poser sur la feuille pour en tracer exactement les contours ».
Les dessins ont été collés sur planches pour former les deux premiers albums. Ceux-ci ont été intitulés : « Album Revon – Savoie & Dauphiné – Commission de la Topographie des Gaules ». L’indication du secteur géographique n’est pas représentative du contenu. En effet, la région historique de la Savoie comprend les départements de Savoie et de la Haute-Savoie, tandis que le Dauphiné couvre les départements de la Drôme, de l’Isère et des Hautes-Alpes. Les dessins, quant à eux, concernent principalement la Haute-Savoie, les Hautes-Alpes et l’Isère, au détriment des autres départements constituant la Savoie et le Dauphiné. En revanche, il faut ajouter l’Ain, les Basses-Alpes et également deux pays et régions étrangers : la Suisse et la Bavière. Les dessins sur la Haute-Savoie – les plus nombreux – sont les seuls à avoir le département indiqué en en-tête, en haut à droite. Les dessins sur la Suisse sont aussi très nombreux : originaire de Genève, Louis Revon y passait ses vacances et rayonnait depuis ce point vers les autres villes de Suisse. Les dessins sur les Basses-Alpes et les Hautes-Alpes sont peut-être plus tardifs. Vers 1872 le conservateur du musée d’Annecy demande en effet une nouvelle subvention pour aller dessiner à Aoste, Grenoble, Vienne, Lyon et explorer les Hautes-Alpes et les Basses-Alpes. Tout en étant force de propositions pour les musées qui conservent des objets provenant de Haute-Savoie, il laisse souvent libre choix à Gabriel de Mortillet sur les destinations : « Envoyez-moi où bon vous semblera, en désignant les coins où il y a des collections à noter et dessiner, et où les correspondants oublient de correspondre » lui écrit-il le 26 mars 1873.
Les planches des deux premiers albums sont classées par ordre alphabétique de communes de provenance des objets et sites représentés. Le contenu des planches montre en effet un réel attachement à l’objet archéologique, représenté le plus souvent de manière isolée. De rares vues de sites, essentiellement des monuments mégalithiques, sont incluses dans les deux premiers albums. Les sujets concernent surtout la Préhistoire et la Protohistoire.
Le troisième album présente en revanche une conception différente bien que la provenance des dessins soit similaire. Ils ont été reliés tels-quels, sans être collés sur planches et sans ordre apparent de classement. L’album est plus varié tant d’un point de vue typologique (dessins d’objets, plans de fouilles, photographie de paysage, notes, estampages) que chronologique (présence d’objets d’époque gallo-romaine et du premier Moyen Âge).
Tous les dessins sont légendés : identification des objets et du matériau ; site de provenance ; lieu de conservation ; parfois la période chronologique (âge du Renne ; âge de la Pierre ; âge du Bronze ; premier âge du Fer ; époque gallo-romaine) ; ou des informations sur la date de découverte, l’inventeur et les objets associés. Il n’y a pas de planches concernant plusieurs sites mais la planche 14 de l’album 1 est consacrée à un site pour lequel les objets représentés ont été dispersés entre trois collections publiques et privées. La signature est systématique : « Louis Revon », « Louis Revon ad nat. » ou « Louis Revon ad nat. del ». En revanche, les dessins sont rarement datés : 5 planches sur 131 portent une date, les 14 et 15 octobre 1866. On peut parfois obtenir un terminus post quem car Louis Revon mentionne régulièrement l’année de découverte des objets.
Plusieurs planches ont des annotations manuscrites postérieures, à l’encre ou au crayon à papier, notamment de Gabriel de Mortillet (album 1, pl. 6)

Revon, Louis

Album M-V

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre, article de journal, note [64 pl.]. Site de « La pierre branlante » de Saxiâ au Petit-Bornand et du dolmen dit « La Pierre aux fées »de Reignier : dessins au crayon, dessins à l’encre [5 pl.].

Revon, Louis

Carte de la Gaule - détails d'exécution

Matériel éditorial pour l'élaboration de la carte de la Gaule
Observation dans l'inventaire : "travaux de construction"
"Donné au musée de Saint-Germain par la Commission de la Topographie des Gaules. Ed. (signature illisible)"

Commission de Topographie des Gaules

Album des fouilles d'Alise (BIB 24)

Fouilles d'Alise S.te Reine. Commission de la Topographie des Gaules
12 mai 1861 – 7 septembre 1862
Sur le premier feuillet, dédicace de Félicien de Saulcy, président de la Commission de Topographie des Gaules, précisant qu'il est fait don de l'album au Musée de Saint-Germain.

L'album des fouilles d'Alise-Sainte-Reine est conçu probablement en 1866 pour réunir près de 100 pièces d'archives produites lors de la première phase des fouilles impériales menées par la Commission de Topographie des Gaules. Entre avril 1861 et septembre 1862, Félicien de Saulcy, Alexandre Bertrand et Casimir Creuly assurent une conduite des fouilles sur le terrain en quasi permanence, accompagnés par le sous-préfet de Semur Bouillé. Les sommes dépensées s'élèvent à 11 254,09 f sur lesquelles l'empereur a donné 3000 f ; le reste est financé par la CTG.
L'album nous éclaire avec précision et détails sur l'objet des fouilles -retrouver les traces des lignes de siège d'Alésia élaborées par Jules César-, sur leur chronologie, sur les espaces prospectés, et surtout sur le mode opératoire, grâce aux cartes, relevés, plans et coupes réalisés pour la plupart par l'agent-voyer de Flavigny, Paul Millot, et largement annotés.
La méthode de fouille par tranchées, une fois validée par la découverte des fossés de César en mai 1861, est systématiquement mise en œuvre. Les fossés de contrevallation et de circonvallation sont ainsi progressivement révélés.
Malgré le sérieux des résultats obtenus par la CTG, Napoléon III ne publie, dans le tome II de l'Histoire de Jules César, qu'un plan général simplifié, sans utiliser le dossier des fouilles de la Commission. Pourtant, en dépit des limites techniques du XIXe siècle, ce dossier montre des méthodes innovantes pour l'époque, précises et bien documentées, et dont les conclusions ont rarement été prises en défaut par les fouilles récentes.
Saint-Germain-en-Laye, MAN, centre des archives, inv. BIB 24

Commission de Topographie des Gaules

Carte de la Gaule (SN)

Carte de la Gaule sous le proconsulat de César dressée à l'aide des documents géographiques et topographiques du Dépôt de la Guerre par la Commission spéciale instituée au ministère de l'Instruction publique et des Cultes d'après les ordres de S. M. L'Empereur. 1861.
Carte dessinée par Guillet et Chabaud du Dépôt de la Guerre ; lithographie sur papier réalisée par Erhard Schieble, imprimée par l'Imprimerie impériale.
La carte est reliée dans le registre Carte de la Gaule avec les différents états des cartes préparatoires à la lithographie.
Saint-Germain-en-Laye, MAN, centre des archives, fonds de la CTG

Lors de sa création en 1858, la Commission de Topographie des Gaules a tout d'abord pour mission de réaliser une carte et un dictionnaire associé éclairant les sites mentionnés. Ce travail doit être mené à partir des documents envoyés par les sociétés savantes, mobilisées à la suite de l'instruction de novembre 1857 adressée aux recteurs par le ministre de l'Instruction publique. Le thème retenu de la carte répond aux besoins de Napoléon III pour le tome 2 de l'Histoire de Jules César : un état du territoire de la Gaule lors de la conquête du général romain. Alfred Jacobs, secrétaire de la CTG, en explique l'élaboration en janvier 1862 : "Sur cette première feuille ont pris place les anciennes peuplades, les lieux mentionnés dans les Commentaires de la guerre des Gaules et dans quelques ouvrages contemporains. On y a suivi les marches du conquérant et de ses légats, et on y a marqué les débris qui datent de l’époque celtique". La carte, remise à l'empereur en décembre 1861, n'aurait pas rencontré le succès attendu : Napoléon III l'aurait écartée, car en désaccord sur le tracé des campagnes de César, la CTG ayant refusé de placer Genabum à Gien et Uxellodunum au Puy d'Issolud. Elle n'est imprimée qu'en une centaine d'exemplaires et n'illustre pas l'Histoire de Jules César.
Pour autant, cette carte de géographie historique a bénéficié de la grande qualité des travaux des militaires du Dépôt de la Guerre, dont plusieurs de ces cadres, comme Antoine-Lucien Blondel et Charles-Raymond de Coynart, sont membres de la CTG. Le Dépôt, depuis la réforme de la cartographie militaire du Premier Empire, travaille à la production de la Carte d'État-major au 80000e, ce qui a amplement profité à l'élaboration des cartes de la Commission.

Commission de Topographie des Gaules

Facture de la librairie Klincksieck

Facture datant du 20 décembre 1861 adressée par la librairie Klincksieck à Paris à la "Commission pour l'établissement de la carte des Gaules". Elle mentionne l'achat de neuf ouvrages pour un total de 226.55 Frs.

Commission de Topographie des Gaules

Pièces isolées

Il s'agit de pièces éparses s'ajoutant au fonds épigraphique : quelques lettres signalant des envois (d'estampages très probablement), des mémoires, des notes. Les documents sont signés par le général Creuly, Léon Rénier ou des correspondants.

Commission de Topographie des Gaules

Plan d'une autre fouille, menée en 1861 par Louis Cousin, sur la commune de Wissant

Plan légendé d'une autre fouille menée en 1861 par Louis Cousin sur la commune de Wissant. Louis Cousin était archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Dessins d'objets divers trouvés à Hervelinghen

Dessins d'une pointe de lance,accompagnés d'annotations précisant les circonstances de la découverte : "On a trouvé à Hervelinghen, village contigu de Wissant, dans une motte de terre, n°36 du plan à côté du chemin de fer de l'Inglevert, des squelettes humains avec des restes d'armures, entièrement oxidés, sauf un bout de lance en bronze, long de 16 centimètres large de 5, du côté opposé à la pointe, en voici le dessin (grandeur réelle).
Dessin d'une fibule "trouvée dans un jardin voisin du lieu-dit les Croquets, grandeur réelle."
Les deux dessins ont été réalisés par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Carte des environs de Wissant marquant l'emplacement des fouilles

Carte des environs de Wissant présentant l'emplacement des fouilles menées sur le territoire des communes de Wissant, Andinghen, Onglevert, Tardinghen, Ausques, Herlan, Hervelinghen, Audembert, Saint Inglevert, Marquise et Landrethun le Nord. La carte a été dressée en 1862 par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin d'une épée trouvée à Boulogne-sur-Mer, d'une fibule d'Hervelinghen et photographie de statuettes d'Arras

Dessin et coupe d'une épée trouvée à Boulogne-sur-Mer, dans le sable en creusant de nouveau le bassin à 12 mètres de profondeur, le 17 août 1877.
Photographie de 3 statuettes trouvées à Arras, provenant de la collection de Terninck, la photographie a été donnée par Gabriel de Mortillet.
Dessin d'une fibule en grandeur réelle, trouvée à Hervelinghen en 1862 et dessinée par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts″ et correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Croquis provisoire des fragments découverts lors d'une fouille en 1863 dans le cimetière de Sainte Pétronille

"Croquis provisoire grosso modo des fragments trouvés en novembre 1863 dans une tombe en pierre découverte dans le cimetière de Sainte Pétronille près de Gironde s/ la Réole (?)". Les dessins sont réalisés à la plume, vraisemblablement par Anatole de Barthélémy, membre de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Tombelles jumelles près de la Croix Saint-Pierre (plan)

Plan des tombelles jumelles situées près de la Croix Saint-Pierre. Lande de Coujou IV (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou Alexandre Bertrand (?).
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

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Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais

Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais, d'un noir très brillant, trouvé le 6 août 1853, au fond d'un cercueil en plomb dans le cimetière gallo-romain d'Angers. Le dessin a été réalisé à Angers en juillet 1864 par Victor Godard-Faultrier, avocat, inspecteur des monuments historiques et correspondant de la CTG et du CTHS.

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