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Description archivistique
Commission de Topographie des Gaules France Avec objets numériques
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Carte réalisée par la Société des Antiquaires de l'Ouest – Essai topographique sur le pays des Pictons

Carte dressée en 1858 par la société des Antiquaires de l'Ouest et publiée dans le 1er bulletin de 1858, en particulier M. Menard et intitulée "Essai topographique sur le pays des Pictons". Deux encadrés complètent la carte : « Essai correspondant à la Carte de Gaule de d'Anville » et un « Extrait correspondant de la table théodosienne » ; Nota « On peut porter dans la marge à gauche, les additions ou corrections qu'on voudrait faire, en les numérotant et en indiquant leur place sur la Carte par un numéro correspondant ».

Commission de Topographie des Gaules

Album A-L

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre [62 pl.]. Site de « la Pirra à Chantapeu » à Fillinges : dessin à l’encre [1 pl.].

Revon, Louis

Fonds Louis Revon

  • 2019002
  • Fonds
  • 1860 - ?

L’instrument de recherche s’arrête à l’article, l’unité matérielle communicable, c’est-à-dire l’album dans le cas présent. Pour faciliter les recherches sur le contenu même des albums, un inventaire détaillé a été réalisé sur tableur proposé en annexe. Les lieux de provenance et de conservation des objets ont été reportés en note dans l’instrument de recherche – avec le nombre de planches concernées - et dans la liste donnée ci-dessous.
Les dessins ont été réalisés sur du papier, en majorité du papier Canson Frères produit à Vidalon-lès-Annonay (Ardèche). Trois techniques sont visibles : le dessin au crayon à papier, le dessin à l’encre de chine, et l’aquarelle qui rehausse certains dessins au crayon à papier. Dans ses lettres, Louis Revon mentionne souvent ses dessins « aquarellisés », qu’il juge plus dignes que ses croquis au crayon ou à l’encre et les seuls susceptibles d’être accrochés aux murs du musée. Dans son éloge funèbre, Camille Dunant décrivait ainsi les dessins de Louis Revon : « Ses dessins, sous une apparence un peu négligée, rendent très exactement et d'une manière pittoresque la forme, l'aspect fruste des antiquités antéhistoriques, et les mettent en quelque sorte dans la main du lecteur ». Le dessinateur attachait beaucoup d’importance à la forme et écrivait à Gabriel de Mortillet le 3 août 1870 : « comme j’ai horreur de l’a-peu près, je ne dessine presque jamais un objet antique sans le poser sur la feuille pour en tracer exactement les contours ».
Les dessins ont été collés sur planches pour former les deux premiers albums. Ceux-ci ont été intitulés : « Album Revon – Savoie & Dauphiné – Commission de la Topographie des Gaules ». L’indication du secteur géographique n’est pas représentative du contenu. En effet, la région historique de la Savoie comprend les départements de Savoie et de la Haute-Savoie, tandis que le Dauphiné couvre les départements de la Drôme, de l’Isère et des Hautes-Alpes. Les dessins, quant à eux, concernent principalement la Haute-Savoie, les Hautes-Alpes et l’Isère, au détriment des autres départements constituant la Savoie et le Dauphiné. En revanche, il faut ajouter l’Ain, les Basses-Alpes et également deux pays et régions étrangers : la Suisse et la Bavière. Les dessins sur la Haute-Savoie – les plus nombreux – sont les seuls à avoir le département indiqué en en-tête, en haut à droite. Les dessins sur la Suisse sont aussi très nombreux : originaire de Genève, Louis Revon y passait ses vacances et rayonnait depuis ce point vers les autres villes de Suisse. Les dessins sur les Basses-Alpes et les Hautes-Alpes sont peut-être plus tardifs. Vers 1872 le conservateur du musée d’Annecy demande en effet une nouvelle subvention pour aller dessiner à Aoste, Grenoble, Vienne, Lyon et explorer les Hautes-Alpes et les Basses-Alpes. Tout en étant force de propositions pour les musées qui conservent des objets provenant de Haute-Savoie, il laisse souvent libre choix à Gabriel de Mortillet sur les destinations : « Envoyez-moi où bon vous semblera, en désignant les coins où il y a des collections à noter et dessiner, et où les correspondants oublient de correspondre » lui écrit-il le 26 mars 1873.
Les planches des deux premiers albums sont classées par ordre alphabétique de communes de provenance des objets et sites représentés. Le contenu des planches montre en effet un réel attachement à l’objet archéologique, représenté le plus souvent de manière isolée. De rares vues de sites, essentiellement des monuments mégalithiques, sont incluses dans les deux premiers albums. Les sujets concernent surtout la Préhistoire et la Protohistoire.
Le troisième album présente en revanche une conception différente bien que la provenance des dessins soit similaire. Ils ont été reliés tels-quels, sans être collés sur planches et sans ordre apparent de classement. L’album est plus varié tant d’un point de vue typologique (dessins d’objets, plans de fouilles, photographie de paysage, notes, estampages) que chronologique (présence d’objets d’époque gallo-romaine et du premier Moyen Âge).
Tous les dessins sont légendés : identification des objets et du matériau ; site de provenance ; lieu de conservation ; parfois la période chronologique (âge du Renne ; âge de la Pierre ; âge du Bronze ; premier âge du Fer ; époque gallo-romaine) ; ou des informations sur la date de découverte, l’inventeur et les objets associés. Il n’y a pas de planches concernant plusieurs sites mais la planche 14 de l’album 1 est consacrée à un site pour lequel les objets représentés ont été dispersés entre trois collections publiques et privées. La signature est systématique : « Louis Revon », « Louis Revon ad nat. » ou « Louis Revon ad nat. del ». En revanche, les dessins sont rarement datés : 5 planches sur 131 portent une date, les 14 et 15 octobre 1866. On peut parfois obtenir un terminus post quem car Louis Revon mentionne régulièrement l’année de découverte des objets.
Plusieurs planches ont des annotations manuscrites postérieures, à l’encre ou au crayon à papier, notamment de Gabriel de Mortillet (album 1, pl. 6)

Revon, Louis

Album M-V

Reproductions d’objets archéologiques représentant des silex, armes, outils, récipients : dessins à l’aquarelle, dessins au crayon, dessins à l’encre, article de journal, note [64 pl.]. Site de « La pierre branlante » de Saxiâ au Petit-Bornand et du dolmen dit « La Pierre aux fées »de Reignier : dessins au crayon, dessins à l’encre [5 pl.].

Revon, Louis

Album des fouilles d'Alise (BIB 24)

Fouilles d'Alise S.te Reine. Commission de la Topographie des Gaules
12 mai 1861 – 7 septembre 1862
Sur le premier feuillet, dédicace de Félicien de Saulcy, président de la Commission de Topographie des Gaules, précisant qu'il est fait don de l'album au Musée de Saint-Germain.

L'album des fouilles d'Alise-Sainte-Reine est conçu probablement en 1866 pour réunir près de 100 pièces d'archives produites lors de la première phase des fouilles impériales menées par la Commission de Topographie des Gaules. Entre avril 1861 et septembre 1862, Félicien de Saulcy, Alexandre Bertrand et Casimir Creuly assurent une conduite des fouilles sur le terrain en quasi permanence, accompagnés par le sous-préfet de Semur Bouillé. Les sommes dépensées s'élèvent à 11 254,09 f sur lesquelles l'empereur a donné 3000 f ; le reste est financé par la CTG.
L'album nous éclaire avec précision et détails sur l'objet des fouilles -retrouver les traces des lignes de siège d'Alésia élaborées par Jules César-, sur leur chronologie, sur les espaces prospectés, et surtout sur le mode opératoire, grâce aux cartes, relevés, plans et coupes réalisés pour la plupart par l'agent-voyer de Flavigny, Paul Millot, et largement annotés.
La méthode de fouille par tranchées, une fois validée par la découverte des fossés de César en mai 1861, est systématiquement mise en œuvre. Les fossés de contrevallation et de circonvallation sont ainsi progressivement révélés.
Malgré le sérieux des résultats obtenus par la CTG, Napoléon III ne publie, dans le tome II de l'Histoire de Jules César, qu'un plan général simplifié, sans utiliser le dossier des fouilles de la Commission. Pourtant, en dépit des limites techniques du XIXe siècle, ce dossier montre des méthodes innovantes pour l'époque, précises et bien documentées, et dont les conclusions ont rarement été prises en défaut par les fouilles récentes.
Saint-Germain-en-Laye, MAN, centre des archives, inv. BIB 24

Commission de Topographie des Gaules

Plan d'une autre fouille, menée en 1861 par Louis Cousin, sur la commune de Wissant

Plan légendé d'une autre fouille menée en 1861 par Louis Cousin sur la commune de Wissant. Louis Cousin était archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Dessins d'objets divers trouvés à Hervelinghen

Dessins d'une pointe de lance,accompagnés d'annotations précisant les circonstances de la découverte : "On a trouvé à Hervelinghen, village contigu de Wissant, dans une motte de terre, n°36 du plan à côté du chemin de fer de l'Inglevert, des squelettes humains avec des restes d'armures, entièrement oxidés, sauf un bout de lance en bronze, long de 16 centimètres large de 5, du côté opposé à la pointe, en voici le dessin (grandeur réelle).
Dessin d'une fibule "trouvée dans un jardin voisin du lieu-dit les Croquets, grandeur réelle."
Les deux dessins ont été réalisés par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Carte des environs de Wissant marquant l'emplacement des fouilles

Carte des environs de Wissant présentant l'emplacement des fouilles menées sur le territoire des communes de Wissant, Andinghen, Onglevert, Tardinghen, Ausques, Herlan, Hervelinghen, Audembert, Saint Inglevert, Marquise et Landrethun le Nord. La carte a été dressée en 1862 par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin d'une épée trouvée à Boulogne-sur-Mer, d'une fibule d'Hervelinghen et photographie de statuettes d'Arras

Dessin et coupe d'une épée trouvée à Boulogne-sur-Mer, dans le sable en creusant de nouveau le bassin à 12 mètres de profondeur, le 17 août 1877.
Photographie de 3 statuettes trouvées à Arras, provenant de la collection de Terninck, la photographie a été donnée par Gabriel de Mortillet.
Dessin d'une fibule en grandeur réelle, trouvée à Hervelinghen en 1862 et dessinée par Louis Cousin, archéologue et historien local, avocat, membre fondateur et président de la "Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts″ et correspondant de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Croquis provisoire des fragments découverts lors d'une fouille en 1863 dans le cimetière de Sainte Pétronille

"Croquis provisoire grosso modo des fragments trouvés en novembre 1863 dans une tombe en pierre découverte dans le cimetière de Sainte Pétronille près de Gironde s/ la Réole (?)". Les dessins sont réalisés à la plume, vraisemblablement par Anatole de Barthélémy, membre de la CTG.

Commission de Topographie des Gaules

Tombelles jumelles près de la Croix Saint-Pierre (plan)

Plan des tombelles jumelles situées près de la Croix Saint-Pierre. Lande de Coujou IV (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou Alexandre Bertrand (?).
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais

Dessin de deux aiguilles à cheveux et de deux bracelets en jais, d'un noir très brillant, trouvé le 6 août 1853, au fond d'un cercueil en plomb dans le cimetière gallo-romain d'Angers. Le dessin a été réalisé à Angers en juillet 1864 par Victor Godard-Faultrier, avocat, inspecteur des monuments historiques et correspondant de la CTG et du CTHS.

Commission de Topographie des Gaules

Dessin d'un petit poignard trouvé en avril 1860

Dessin d'un petit poignard trouvé (grandeur réelle) en avril 1860 avec un bronze de Commode (185-191), au lieu dit Le Pavement, commune de Saint-Barthélémy près d'Angers. Manche en bronze, lame en fer, fourreau en bronze. Le dessin a été réalisé à Angers en juillet 1864 par Victor Godard-Faultrier, avocat, inspecteur des monuments historiques et correspondant de la CTG et du CTHS.
"NB : En même temps que le poignard furent découvertes au même lieu deux sépultures en pierres dites de Fremur (?)"

Commission de Topographie des Gaules

Tertre et menhirs du Chateau Bû (plan)

Plan à l'échelle du tertre et des menhirs du Chateau Bû sur la commune de Saint-Just. Lande de Coujou VI (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, 81.

Commission de Topographie des Gaules

Tertre et menhirs du Chateau Bû (vue)

Vue du tertre et des menhirs du Chateau Bû. Lande de Coujou, VIII (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Tertre, enceinte et dolmen du Four Sarrazin (plan et coupe)

Plan et coupe du tertre, de l'enceinte et du dolmen du Four Sarrazin (commune de Saint-Just). Lande de Coujou, planche I (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Tertre et enceinte de La Croix Saint-Pierre (plan)

Plan à l'échelle du tertre et de l'enceinte de la Croix Saint-Pierre (sur la commune de Saint-Just). Lande de Coujou V (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Enceinte près de La Croix Saint-Pierre (plan)

Plan de l'enceinte près de la Croix Saint-Pierre (commune de Saint-Just). Lande de Coujou, II (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf. Lande de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Oppidum de l'étang de Saint-Just (vue)

Vue de l'oppidum de l'étang de Saint-Just. Lande de Coujou VIII (sic). Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alfred Ramé ou d'Alexandre Bertrand (?).
Cf.Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

Commission de Topographie des Gaules

Oppidum de l'étang de Saint-Just (plan)

Plan de l'oppidum de l'étang de Saint-Just. Le document porte un numéro d'inventaire coupé et la signature d'Alexandre Bertrand.
Cf. Alfred Ramé, Le Champ funéraire de Cojou, Revue archéologique, 1864, vol. 9, p 81.

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